Qui suis-je ?

• Mon parcours vers l’éducation thérapeutique et l’accompagnement des femmes avec l’endométriose

Après des études en sciences politiques, j’ai travaillé pendant 10 ans dans le domaine de la communication. Cette première partie de ma vie professionnelle dans le domaine des sciences sociales m’a permis de m’intéresser beaucoup à l’humain et de mettre à profit mon intuition, ma créativité, ma curiosité, mon pragmatisme et ma capacité à transmettre des savoirs souvent très techniques.

A la suite de la découverte de mon endométriose en 2016, j’ai beaucoup lu sur le sujet de la maladie notamment des publications médicales et scientifiques et j’ai assisté à des séminaires et des conférences qui m’ont permis d’approfondir énormément mes connaissances sur la maladie durant quatre ans. Je suis très à l’aise avec les sujets scientifiques et médicaux car je suis née dans une famille de médecins et mon goût pour les questions médicales était inscrit dans mes gènes !

Mes formations

J’ai commencé ma reconversion professionnelle au début de l’année 2020 pour utiliser toutes ces connaissances au profit des femmes atteintes d’endométriose :

• • DU Se former au partenariat Patient/Soignant, Faculté de médecine de Montpellier, 2024-2025
    
    
  • DU Coordinnation de parcours de santé intégrative, CNAM, 2024
    
    
  • DU Education thérapeutique du patient, Université des patients La Sorbonne Pitié Salpétrière, 2022-2023

• • Influence Responsable, ARPP, 2023

• • Counselling, Tomo, 2022

• • Coaching santé & bien-être, Alliance éducative, 2020

• • Congrès Resendo, 5es journées de formation du centre de l’endométriose du Groupe hospitalier Paris Saint-Joseph et de Resendo, réseau ville hôpital endométriose, septembre 2020

• • Symptothermie, 2020

• • Auto-hypnose, Ecole centrale d’hypnose, 2021

• • Education thérapeutique du patient, Alliance éducative, janvier 2021

• • Congrès Résendo, 6es journées de formation du centre de l’endométriose du Groupe hospitalier Paris Saint-Joseph et de Resendo, réseau ville hôpital endométriose, septembre 2021

• • MOOC Endométriose, l’affaire de tous

Mon histoire : comment j’ai retrouvé le chemin du bien-vivre avec l’endométriose

Espérer un bébé et souffrir

Quelques mois après notre mariage en 2014, mon mari et moi commençons à penser à avoir un petit bébé. J’arrête la pilule. Le temps passe et rien ne se passe, à part avoir des douleurs très fortes en continu pendant le cycle. J’ai toujours eu des douleurs très fortes pendant les règles et des règles très abondantes, et ce depuis mes premières règles. Mais autour de moi TOUT LE MONDE (!) me dit que c’est normal.

Les mois passent et les douleurs deviennent de plus en plus vives. Je manque de m’évanouir de douleurs tous les mois durant mes règles en allant aux toilettes. J’ai des migraines intenses. Au bout d’un an, je demande à ma gynéco si cela ne pourrait pas empêcher une grossesse mais pour elle, rien d’inquiétant. Moi, je fais mes propres recherches sur internet et voit sur des forums des femmes avec les mêmes symptômes, qui parlent d’endométriose.

A ce moment-là, j’essaie d’oublier car je sais que cela peut rendre encore plus difficile les chances d’avoir un petit bébé.

L’annonce de la maladie

En 2016, j’apprends que je suis enceinte ! Mais malheureusement c’est une grossesse extra-utérine pour laquelle je subis en urgence une cœlioscopie. Lorsque je me réveille, en plus d’avoir perdu mon bébé, le chirurgien m’annonce que j’ai une endométriose profonde, stade IV. Pour lui, la seule solution est de prendre la pilule en continu. Mais moi, j’espère un bébé.

Alors je pleure, beaucoup et j’angoisse, encore plus. Il n’y pas de solution…

Mon choix pour aller mieux : les solutions naturelles

Pendant ma convalescence, je passe beaucoup de temps sur les réseaux sociaux à lire des témoignages de femmes atteintes d’endométriose. J’apprends beaucoup de choses sur le cycle féminin, l’inflammation, les mémoires du corps.

En quelques mois, en appliquant ce que je découvre et avec l’aide de professionnels spécialisés, les douleurs s’estompent et je vais mieux. Un an après, je suis enceinte.

Aujourd’hui, mon endométriose régresse

Aujourd’hui, je n’ai plus de douleurs, mes lésions ont énormément régressé, certaines ont même disparu, et j’ai trois adorables petits garçons.

C’est possible d’aller bien avec l’endométriose, voire de la vaincre, en prenant du temps pour soi : manger des aliments qui font du bien à son corps, apprivoiser ses émotions, apaiser son mindset.

Comme moi, vous avez les ressources en vous pour vivre sereinement avec la maladie. Et pour les découvrir, je vous propose de vous accompagner afin de vivre sereinement avec la maladie : réduire voire supprimer les douleurs, améliorer la digestion, réduire la fatigue, accroître la fertilité.

Pourquoi j’ai choisi d’accompagner les femmes atteintes d’endométriose ?

Je veux transmettre ce que j’ai appris depuis le diagnostic de mon endométriose il y a six ans.

Je veux permettre à d’autres femmes de retrouver une vraie qualité de vie et de vivre sereinement avec la maladie.

Parce que les femmes atteintes d’endométriose se sentent souvent seules dans leur parcours avec la maladie : par pudeur ou par honte d’en parler autour d’elles dans leur cercles amicaux ou familiaux, par gêne dans le milieu professionnel où elles doivent s’absenter très souvent.

Parce que les femmes atteintes d’endométriose sont souvent perdues dans le parcours médical qui leur est proposé en raison du peu de temps dont disposent les médecins pour présenter la maladie à leurs patientes et discuter avec elles des options et de leurs conséquences. Beaucoup d’entre eux ne prennent pas le temps d’écouter les peurs et les inquiétudes des femmes qui les consultent alors que dans ces moments là une écoute bienveillante est plus que nécessaire.

Parce que les femmes atteintes d’endométriose sont souvent inquiètes en lisant tout et son contraire sur internet sans avoir une approche personnalisée.

Parce que, quand j’ai été diagnostiquée, j’aurais aimé trouver une oreille attentive pour parler de mes peurs et de mes angoisses.

Parce que, à chaque fois que j’avais mal, j’aurais aimé parler une femme qui était passée par là et qui aurait pu me transmettre son optimisme, me dire que ma vie serait quand même belle et que mon état pouvait s’améliorer.

Parce que, à chaque rendez-vous médical, j’aurais aimé qu’une autre femme décrypte ce que j’avais entendu et me dise qu’il existe des solutions complémentaires à celles que présentent les médecins pour gérer et réduire la douleur, diminuer le stress, limiter la propagation de la maladie, etc.

Parce que j’aurais aimé qu’une autre femme me parle de son vécu de la maladie pour que je me sente moins seule, qu’elle me transmette ses connaissances et me propose les outils qu’elle a déjà expérimentés.

Parce que j’aurais aimé qu’une autre femme passée par ces moments difficiles me dise que mon corps m’envoie le message de prendre soin de lui et qu’elle m’explique comment faire.

Parce que j’aurais aimé qu’une autre femme prenne soin de moi avant que je commence à le faire moi-même.

Parce que j’aurais aimé qu’une autre femme me dise que j’étais capable de dépasser cette épreuve et que cette épreuve me rendrait à la fois plus forte et plus douce, plus résiliente et plus fragile, plus affirmée et plus incertaine et que plus que tout elle me changerait et transformerait ma vie et ma vision du monde.

« Je suis interpellé que constater à quel point les gens laissent les autres penser à leur place. En particulier lorsqu’ils sont malades. En soi cela est compréhensible car la maladie est un traumatisme qui nous ôte nos repères et nos certitudes. Face à elle, nous sommes comme infantilisés et, du coup, nous avons tendance à remettre notre pouvoir à une autorité extérieure, un “bon parent”, un soignant, notre thérapeute ou notre médecin. Le transfert est facile. Mais je crois qu’un bon thérapeute ou un bon médecin doit aider les patients à trouver leur propre pouvoir.

Thierry Janssen

Mon approche de l’accompagnement avec l’endométriose

J’ai moi-même mis longtemps à le comprendre, mais lorsque la maladie résiste à toutes les formes de médicaments qu’elle revient périodiquement, il faut faire appel à d’autres conceptions de la maladie et du soin : ne pas considérer la maladie comme un ennemi à combattre mais comme un enseignement qui signale que l’on doit reprendre en main le volant de sa vie

Danielle Flaumenbaum, Femme désirée, femme désirante

Vos besoins

Être écoutée, être rassurée, être accompagnée, entendre qu’aller mieux, qu’aller bien, est possible.
Être guidée sur le chemin d’une meilleure qualité de vie au quotidien, découvrir des outils et des astuces, comprendre comment votre corps fonctionne, décrypter les messages qu’il vous envoie au travers de la douleur et d’autres symptômes, retrouver confiance en lui et en vous.

Ne plus avoir de douleurs
Avoir une digestion normale
Ne plus être fatiguée
Pouvoir concevoir un enfant

Ce sont vos besoins et c’est ce que je vous aide à faire quand nous cheminons ensemble.

Ma philosophie : vous permettre de mieux vivre avec votre endométriose de manière naturelle

Mon accompagnement a pour objectif d’améliorer votre qualité de vie avec l’endométriose et repose sur quatre grandes valeurs :

positivité
écoute
bienveillance
pragmatisme

Changer son alimentation ne suffit pas pour vaincre l’endométriose.
Faire quelques séances de yoga, de kinésithérapie ou d’acupuncture ne suffit pas pour vaincre l’endométriose.
La chirurgie ne suffit pas pour vaincre l’endométriose.
Vaincre l’endométriose repose sur une approche multimodale intégrée et nécessite de mettre en oeuvre simultanément différentes actions.

C’est pourquoi mon accompagnement se fonde sur une approche holistique au sens où nous travaillons ensemble, grâce à des outils naturels, sur le corps, l’âme et l’esprit afin de prendre en considération les trois dimensions qui composent la personne humaine et d’améliorer le bien-être physique, émotionnel, spirituel et mental.

Mon accompagnement repose aussi sur une vision intégrative de la santé : pour moi l’approche conventionnelle de la médecine et les approches complémentaires comme celle que je propose doivent être associées pour aider les femmes atteintes d’endométriose à retrouver un vrai bien-être au quotidien.

C’est pour cela que mes accompagnements ne se font qu’en complément d’un suivi médical par un gynécologue spécialiste de la maladie.

Des outils pour devenir actrice de votre bien-être et de votre qualité de vie

Depuis mon diagnostic en 2016, j’ai acquis énormément de connaissances qui m’ont permis d’aller mieux et de voir mon endométriose régresser. Ce sont ces connaissances et ces outils que je mets à votre disposition. Vous pouvez ainsi vous familiarisez avec eux et repartir de notre bout de chemin ensemble avec ceux qui vous conviennent le mieux et qui vous font le plus de bien. Vous devenez l’actrice de votre bien-être et de votre qualité de vie :

– vous savez comment faire pour réduire ou stopper vos douleurs de manière naturelle quand vous avez mal
– votre fatigue est endiguée et vous savez comment améliorer la qualité de votre sommeil
– votre transit est devenu régulier et en cas de crise, vous savez comment redresser la barre
– vous avez les outils pour gérer votre anxiété et votre stress

Si je ne peux pas promettre une guérison, je peux vous assurer une meilleure qualité de vie au quotidien. Vous avez en vous les ressources pour vivre sereinement avec la maladie et je vous aide à les découvrir et à les mettre en place.

Mes conseils sont personnalisés et adaptés à votre situation, votre parcours, vos besoins et vos envies.

Mon accompagnement est complémentaire au parcours médical individuel que vous vivez et ne vise en aucun cas à s’y substituer.