La charge mentale de l’endogirl ou le fardeau de la vie avec l’endometriose
En octobre 2019, l’Assistance publique Hôpitaux de Paris publiait une enquête[1] sur le poids que constitue le traitement pour les personnes atteintes de maladie chronique. Selon cette étude, en France, 38 % des patients atteints d’une maladie chronique « estiment leur fardeau du traitement inacceptable ».
Ce fardeau peut aussi être désigné sous le nom de charge mentale. La charge mentale recouvre la série de tâches supplémentaires à effectuer et les nombreuses choses à anticiper que les personnes atteintes de maladie chronique ont et que les personnes non malades n’ont pas.
C’est le quotidien des femmes atteintes d’endométriose. Les douleurs, les problèmes digestifs, la fatigue et tous les autres symptômes associés à l’endométriose ne leur laissent aucun répit au quotidien et leur rappelle tous les jours qu’elles sont malades.
Plongée dans ce quotidien particulièrement perturbé des femmes atteintes d’endométriose dans l’article que j’ai écrit pour le site Endoblum : Charge mentale de l’endogirl, le fardeau de la vie avec l’endométriose | Endoblum
[1] Tran VT, Montori VM, Ravaud P. Is My Patient Overwhelmed?: Determining Thresholds for Acceptable Burden of Treatment Using Data From the ComPaRe e-Cohort. Mayo Clin Proc. 2020 Mar;95(3):504-512. doi: 10.1016/j.mayocp.2019.09.004. Epub 2019 Oct 13. PMID: 31619365.