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Comment trouver les bons vêtements pour vivre avec l’endométriose ?

Temps de lecture : 4 minutes

Sensation de ballonnement, de ventre dur, de ventre gonflé et très inconfortable, voire douloureux… Tels sont les symptômes rencontrés par les femmes atteintes d’endométriose.

Dans ce contexte, difficile de s’habiller, de trouver un vêtement dans lequel on se sent vraiment à l’aise. Mais bien sûr, pas question de se sentir bien sans se trouver belle ! Parce que le jogging en cas de crise n’est pas une fatalité, nous vous proposons un tour d’horizon des astuces pour bien choisir ses vêtements avec, en fin d’article, une surprise.

La robe avec une forme évasée est une alliée de tous les temps. Il convient toutefois, pour l’hiver, de trouver la bonne paire de collants. Et ce n’est pas chose aisée. Des collants avec une ceinture plate, des collants taille basse ou des collants de maternité peuvent être particulièrement adaptés en fonction de chacune.

Tout simplement parce que cette manière de tricoter offre une certaine flexibilité à la matière. Egalement, vous pourrez choisir des vêtements contenant un pourcentage modéré d’élasthanne (max. 10%). Celui-ci apporte au vêtement une « élasticité » lui permettant de s’adapter au corps sans se déformer (idéal en cas d’endobelly, le fameux ventre gonflé que l’on retrouve chez la plupart des femmes qui ont de l’endométriose). 

Tout simplement, parce qu’une couture mal placée ou un peu épaisse peut ruiner le confort d’un vêtement et être source si ce n’est de gênes mais de douleurs supplémentaires avec l’endométriose.

Préférez des matières naturelles ou artificielles, autrement dit des matières naturelles transformées telles que le bois de hêtre par exemple. Parmi elles, citons le lyocell, le modal, le tencel ou la viscose ecovero. Pour ces matières, assurez-vous qu’il s’agît bien du fil Lenzing, leader mondial des fibres de cellulose reconnu pour la qualité de ses fils mais aussi ses pratiques environnementales.

Le lin, le coton bio ou la laine sont également très agréables à porter.

A l’inverse, on exclut de son dressing pour des raisons de santé (hello les perturbateurs endocriniens dans toutes les matières commençant par « poly »), de confort mais aussi d’impact sur l’environnement les vêtements 100% polyester issus de la pétrochimie.

Le saviez-vous ? On utilise que 30% de son dressing. Autrement dit, 7 pièces achetées sur 10 restent au placard. En cause, une dégradation trop rapide, un mauvais choix, une couture mal placée… Bref ! Il est préférable d’investir dans UN vêtement dans lequel on se sent vraiment belle et bien plutôt que dans 100 vêtements mal pensés.

Prenez le temps de bien les choisir, de vous assurer que le vêtement correspond pleinement à notre besoin et qu’il vous apporte ce confort tant recherché au niveau du ventre. 

You know what ? Acheter moins mais mieux se révèle une stratégie gagnante pour le porte-monnaie.

Démonstration : Si, par exemple, vous avez 100 vêtements et accessoires, qu’en moyenne, vous avez dépensé 50€ par pièce. Cela représente un investissement total 5 000€. Si vous ne portez que 30% de votre dressing, concrètement, cela veut dire que chaque vêtement réellement porté ne vous a pas coûté 50€ mais bien 166€.

Pour en savoir plus, n’hésitez pas à lire l’article : Comprendre les prix de la mode éthique

Entre la fast fashion, le green washing et toutes les marques mass-market, il est parfois difficile de trouver un vêtement avec une véritable promesse éco-responsable. Les jeunes marques sont plus habilles en la matière et certaines sont très transparentes sur leur chaine de valeur. Ce qu’il faut regarder : la matière ET le lieu de la production ET la certification. Une marque qui proposerait un tee-shirt en coton bio made in Bangladesh ne nous intéresse pas hein !

Si la production doit être éloignée, elle doit être motivée par un autre facteur que l’aspect financier (commerce équitable, soutien à un atelier faisant travailler des femmes…).

Deux labels sont à regarder notamment : la certification confiance textile Oeko-tex pour des textiles exempts (ou contenant très peu) de produits chimiques toxiques pour l’homme et l’environnement et le label GOTS (Global Organic Textile Standard) pour les fibres organiques. D’autres sont à regarder pour la laine ou le cuir.

Les jeunes marques de prêt à porter sont très « customer centric ». Autrement dit, elles placent le client au cœur de leurs préoccupations. Elles n’hésitent donc à aller chercher leurs témoignages et à les publier. Faites-attention à la solution utilisée, elle doit servir de tiers de confiance – ex : trust pilot, avis garantis, avis vérifiés…

Cet article a été écrit par Sidonie, de ThelmaRose

Zoom sur la marque Thelma Rose et ses vêtements Effet Seconde Peau idéals pour répondre à la problématique de l’endométriose et de l’endobelly

Thelma Rose propose une collection de vêtements effet « seconde peau » en sélectionnant des matières douces, de haute qualité et en travaillant des coupes précises afin que les femmes prennent un plaisir infini à porter leurs vêtements.
Les jupes, legging ou pantalon intègrent un bandeau en guise de ceinture offrant un confort absolu sur le ventre.
Si la collection n’a pas été créée spécialement pour les femmes atteintes d’endométriose, souffrant d’endobelly, la marque y répond très précisément.
Thelma Rose est une marque made in France. Les matières utilisées sont low-impact et certifiées Oeko-tex.
Avec le code ENDHOLISTIC20, vous avez -20% sur toute la collection actuelle pour votre première commande, non cumulable avec un autre code.


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